Aujourd’hui dans l’Equipe, nous pouvons lire un article sur GHILAS (joueur de football de Reims, L1). Il est évoqué son manque de confiance par l’entraîneur : “Sur les six derniers mois, Kamel (GHILAS) n’a marqué que deux buts, il traverse une grosse crise de confiance. C’est à lui de continuer à travailler, de se poser les bonnes questions. Mais c’est préoccupant.” Il est courant de lire, ici ou là : “j’étais bien car je ne me suis pas posé de question”. C’est faux ! Vous pouvez essayer, c’est impossible. La vérité c’est qu’en amont ils ont répondu aux questions qu’ils se sont posé. Il ne faut donc pas éviter de se poser des questions, ni considérer qu’il y a de bonnes questions ou de moins bonnes. Il y a tout simplement des questions qu’il faut résoudre. Répondre aux questions que l’on se pose nécessite de faire des choix. Une fois ces choix effectués, il faut analyser le résultat. En fonction de cette analyse, il y a un réajustement à faire ou pas. Et ainsi de suite… C’est ainsi que l’on construit “ses certitudes factuelles”, donc sa confiance, son mental…